Chronique des Mondes Emergents

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Ce siècle est à la barre et je suis son témoin. Victor Hugo [L'Année terrible (1872)]

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    Ah! Fracasser les fausses idoles!

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    Messages : 123
    Date d'inscription : 12/05/2014

    Ah! Fracasser les fausses idoles! Empty Ah! Fracasser les fausses idoles!

    Message par Admin Mer 4 Juin - 7:41

    #con #mouton
    J'ai un aveu non pas honteux mais jouissif, presque sadique à formuler. 



    Ah! Fracasser les fausses idoles! Use_yo10

    J'adore exploser les fausses idoles et leur cohorte de caniches nains qui, dans le petit matin frileux tremblent de peur devant le jour qui se lève s'imaginant que le monde entier se dresse contre eux, et qui, dans le petit soir blafard, jappent aux pieds de leurs maîtres en se rêvant loups, quand ils ne sont que brebis apeurées!
    Ah les caniches pathétiques!
    Décortiquer leurs actes et leur hypocrisie, la lâcheté de leur attitude et leurs incohérences. Bref, oui, ce fut un délice de démonter ce système ridicule bricolé par un petit chef frustré qui, "voulant être Calife à la place du Calife", n'arrive pas à cacher son ego bouffi de l'air vicié d'une vanité insatiable et grotesque. Et qui n'eut pas même le cran de revendiquer ce que ses groupies me reprochaient à mauvais escient. Lâche donc, et manipulateur pour ses défenseurs de surcroît.
    Se gargarisant d'inepties enrobées de platitudes creuses approximativement intellectuelles, brandies pour jeter l'extase ou éblouir les foules, mais creuses car désincarnées -l'humain ne s'étudie pas dans un échantillon stérile sous un microscope à nuées, arraché à la tourbe qui fait la vie, mais dans la vie même justement, ce qui fausse tous vos borborygmes et les réduit au lisier de vos cochons grognons-, ils se prennent pour des phares dans la nuit alors qu'ils ne sont que mornes reflets dans quelques vaguelettes boueuses. 
    Projetant leurs propres fantasmes sur vous qui n'avez rien demandé, ils s'étonnent qu'en s'ébrouant aussi vite vous les jetiez bas. Ils vocifèrent alors, vous insultent, tentent de vous éclabousser de leur ego écorché vif, mais à peine l'auriez-vous remarqué qu'ils se jettent à votre gorge étonnés que votre monde ne se réduise pas à leur seule personne. Et que vous soyez déjà reparti sans vous retourner sur ces géants qui ne sont grands que hissés sur le dos des moutons bêlant fascinés par le cloaque lyrique de leur orgueil gonflé comme une outre devenue Zeppelin.
    Ce weekend j'en ai épinglés quelques-uns, vagissant de colère sans même savoir pourquoi, mais agissant sur ordre, en meute de jeunes caniches ras de col. Serrant les dents et les rangs, à tour de rôle, insatiables dans la décrépitude de leur médiocrité racornie, froissés comme des mouches de papiers apeurées d'avoir jeté un oeil un instant par une fenêtre mal jaunie. Et bien sûr inaptes à reconnaître leur incohérence.

    J'adore les cons, les fracasser et me repaître de leurs cadavres arrogants, encore faut-il pour cela qu'ils soient teigneux comme des tiques hystériques. Ils l'étaient. Mais je ne bataille pas contre des outres vides. Souvent elles se dégonflent d'elles-mêmes suintant leur air fétide et vous reprochant d'aimer l'air frais du grand large.

      La date/heure actuelle est Dim 28 Avr - 0:45