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size=16]Tous les fanatismes, les exclusivismes, tous les extrémismes m'ont toujours fait, me font et me feront toujours vomir. La seule gerbe que j'adresse à vos cimetières vient de l'endroit même qui vous sert à penser.[/size]
(Crédit visuel: Philippe Geluck)
De quelque crin, chapelle, minaret ou autre mirage vous soyez, ou vous revendiquiez pour mieux trahir, que vous étouffiez à vous entasser dans l'horizon ridé d'un bidet bouché ou que vous vous extasiez devant les nuances sépulcrales de pseudo-limbes éternelles, je ne veux pas de vos réductions, ni de vos approximations nauséabondes.
Tout ce que vous aimez devient poussière, tout ce que vous rêvez devient tombeau, tout ce que vous respirez devient miasmes et maladie. Tout ce que vous touchez devient boue et nuées. Tout ce que vous regardez devient stérile.
Vous réduisez l'être humain, l'émasculez et le réduisez en bouillie asséchée ou en bonsaï. Vous salissez toute beauté, vos caresses sont mesurées et vénéneuses. Vos louanges font figure de pierre tombale. Et quand vous caressez c'est pour mieux étouffer et meurtrir. La putréfaction vous enivre et la contamination vous délivre.
Je ne veux pas de vos paradis aseptisés, de vos plaisirs sous perfusion et de vos lois déshumanisées. La haine est votre credo et la peur la table de vos lois insensées et immondes.
Et ce ne sont pas ces haineux hallucinés, qui justifient leur méprisable existence par le bruit, la destruction et la violence,
Et ce ne sont pas ces gogos décervelés, ces dégénérés, comprenez bien: ces "dé-générés"!, amputés d'eux-mêmes, qui cherchent un maître à servir plutôt qu'un idéal à conquérir,
Et ce ne sont pas non plus ces partisans du "laisser-faire, faut comprendre" à tout crin, ces infâmes usurpateurs qui se servent de la démocratie comme d'une paillasse souillée par vos infâmes délires excrémentiels qui ont déjà sévi en Europe dans les années 30,
Et ce ne sont pas enfin les partisans couards justifiant l'injustifiable, banalisant l'insupportable,
Non! Non, ce ne sont pas eux, ni personne, qui me feront changer d'avis.
En un mot comme en sang, je vous méprise et je vous vomis.
Mais j'arrête ici, car chaque seconde passée auprès de vous m'assèche autant qu'elle vous grandit!
Et pour que les choses soient claires et définitives, je signe: je m'appelle Philippe Destoky
(Crédit visuel: Philippe Geluck)
De quelque crin, chapelle, minaret ou autre mirage vous soyez, ou vous revendiquiez pour mieux trahir, que vous étouffiez à vous entasser dans l'horizon ridé d'un bidet bouché ou que vous vous extasiez devant les nuances sépulcrales de pseudo-limbes éternelles, je ne veux pas de vos réductions, ni de vos approximations nauséabondes.
Tout ce que vous aimez devient poussière, tout ce que vous rêvez devient tombeau, tout ce que vous respirez devient miasmes et maladie. Tout ce que vous touchez devient boue et nuées. Tout ce que vous regardez devient stérile.
Vous réduisez l'être humain, l'émasculez et le réduisez en bouillie asséchée ou en bonsaï. Vous salissez toute beauté, vos caresses sont mesurées et vénéneuses. Vos louanges font figure de pierre tombale. Et quand vous caressez c'est pour mieux étouffer et meurtrir. La putréfaction vous enivre et la contamination vous délivre.
Je ne veux pas de vos paradis aseptisés, de vos plaisirs sous perfusion et de vos lois déshumanisées. La haine est votre credo et la peur la table de vos lois insensées et immondes.
Et ce ne sont pas ces haineux hallucinés, qui justifient leur méprisable existence par le bruit, la destruction et la violence,
Et ce ne sont pas ces gogos décervelés, ces dégénérés, comprenez bien: ces "dé-générés"!, amputés d'eux-mêmes, qui cherchent un maître à servir plutôt qu'un idéal à conquérir,
Et ce ne sont pas non plus ces partisans du "laisser-faire, faut comprendre" à tout crin, ces infâmes usurpateurs qui se servent de la démocratie comme d'une paillasse souillée par vos infâmes délires excrémentiels qui ont déjà sévi en Europe dans les années 30,
Et ce ne sont pas enfin les partisans couards justifiant l'injustifiable, banalisant l'insupportable,
Non! Non, ce ne sont pas eux, ni personne, qui me feront changer d'avis.
En un mot comme en sang, je vous méprise et je vous vomis.
Mais j'arrête ici, car chaque seconde passée auprès de vous m'assèche autant qu'elle vous grandit!
Et pour que les choses soient claires et définitives, je signe: je m'appelle Philippe Destoky
